Monsieur l’Echevin,
Le 12 novembre dernier, jour de la petite fête prévue pour ses 150 ans, l’école de Jupille-Combattants a vu une partie de sa cour des maternelles s’effondrer sous le poids d’un food-truck.
Une DI, demande d’intervention, avait été formulée. Les explications divergent sur la temporalité, la nature et le suivi de cette demande.
Mais indépendamment des responsabilités des uns et des autres, il reste une évidence : nous avons échappé à un accident plus grave compte tenu de l’ampleur du ravinement (5 mètres de diamètre et près de 2 mètres de profondeur) et du fait que par endroit il ne restait rien sous les pavés. Sans parler d’un possible accident à terme pour des enfants, il est clair que si une intervention de pompiers s’était avérée nécessaire, jamais leur camion n’aurait pu accéder à l’école. Il semble donc important d’avoir un rapport établissant clairement les responsabilités.
Mais j’aimerais me tourner vers demain car nous avons désormais des enfants privés de cour de récréation. Mes deux questions sont les suivantes :
- Sera-t-il procédé à une réquisition ou au recours à un accord cadre pour accélérer la réparation (de la canalisation puis de la cour). Et si oui, dans quel délai peut-on espérer rouvrir la cour aux enfants ?
- Toutes les cours de cette école étant bétonnées (ou pavées), peut-on “profiter” de cette réfection (fut-ce dans une deuxième phase) pour dé-bétonner une partie de cette cour et y mettre un peu de vert ?
En vous remerciant par avance pour vos réponses,
Pierre Eyben pour le groupe Vert Ardent
Question orale en vue du conseil communal du 24 novembre 2025